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Un poids lourd au fossé sur l'A84, en direction de Fougères, la circulation est ralentie

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Sur l'A84, un camion s'est immobilisé dans le fossé, dans le sens Rennes-Caen.

Sur l’A84, un camion s’est immobilisé dans le fossé, dans le sens Rennes-Caen. (©La Chronique républicaine)

Ce lundi 28 janvier, un accident de la circulation s’est produit sur l‘autoroute A84.

Aux alentours de 8h, dans le sens Rennes-Caen, à hauteur de Saint-Marc-sur-Couesnon, un camion a terminé sa route dans le fossé.

Les pompiers sont arrivés sur les lieux.

Pour des raisons de sécurité, et pour leur permettre de travailler en toute sécurité, ils ont organisé la circulation sur une file.

A l’heure où nous écrivons ces lignes, nous ne savons pas s’il y a des blessés.

Les circonstances exactes de cet accident restent à déterminer.

A LIRE AUSSI : Un camion prend feu en forêt de Fougères à cause d’un pneu éclaté


Vœux à Flavacourt. Non et encore non au projet éolien d'Eragny-sur-Epte

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Xavier Hue, un maire heureux et fier de sa population.

Xavier Hue, un maire heureux et fier de sa population. (©L’Eclaireur-La Dépêche)

Beaucoup d’habitants de Flavacourt mais aussi beaucoup d’élus, Jérôme Bascher, sénateur de l’Oise, Nadège Lefebvre, présidente du conseil départemental, Alexis Mancel, conseiller régional, Bertrand Gernez, président de la communauté de communes du Vexin-Thelle et Gilles Delon, le vice-président, ainsi que des maires locaux étaient présents pour la cérémonie des vœux du maire Xavier Hue au cours desquels le sujet concernant les éoliennes avait forcément une place importante.

Si le maire Xavier Hue assurait que la municipalité maintiendrait sa pression pour que le projet n’aboutisse pas, Jérôme Bascher se montrait plus virulent affirmant :

A titre personnel, j’ai dit au maire d’Eragny-sur-Epte qu’il a intérêt, avec son premier adjoint, à renoncer à ce projet. Sinon ils vont apprendre comment s’appliquent les règles de la République.

Quant à Alexis Mancel, il rappelait la position de Xavier Bertrand :

Pour la transition écologique, laissez-nous faire et pour les éoliennes, foutez-nous la paix !

A LIRE AUSSI : Flavacourt. La Région Hauts-de-France est contre le projet éolien d’Eragny-sur-Epte

A LIRE AUSSI  : Le mât d’une éolienne se casse en deux dans l’Oise : des débris retrouvés dans un rayon de 300 m

« On aimerait faire davantage »

Mais bien entendu si le sujet était sur toutes les lèvres, Xavier Hue était là aussi pour rappeler que Flavacourt est un village vivant et dynamique avec ses animations et tous les bénévoles qui font vivre le village.

L’année 2019 sera l’année de la sécurité et de la signalisation à Lincourt, l’entretien des routes, l’installation de la Fibre, l’étude pour la réhabilitation de l’église et le plan d’aménagement de l’Oisillière.

Et le maire d’ajouter :

On aimerait faire davantage tant les besoins sont importants mais on respecte la règle qui est de ne pas dépenser plus que ce que nous possédons.

Xavier Hue rappelait à la population qu’il était là pour servir les administrés, soucieux de leur bien-être.

N’hésitez pas à me soumettre vos propositions pour améliorer le mieux vivre à Flavacourt. Un cahier de doléances a été ouvert à la mairie.

C’est un maire heureux, fier de la population de Flavacourt et de son civisme, qui invitait les présents au verre de l’amitié pour célébrer la nouvelle année.

Des voeux tout le we partout dans le Sud Oise.

Publiée par Jérôme Bascher sur Dimanche 13 janvier 2019

Sécurité : des citoyens pour lutter contre les cambriolages à Torcé et Etrelles

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Marie-Christine Morice, maire d'Étrelles, et Yannick Fouet, maire de Torcé, ont travaillé ensemble pour proposer ce dispositif de lutte contre les cambriolages

Marie-Christine Morice, maire d’Étrelles, et Yannick Fouet, maire de Torcé, ont travaillé ensemble pour proposer ce dispositif de lutte contre les cambriolages

C’est à l’initiative du lieutenant Chalmeau, commandant de la communauté de brigade de gendarmerie de Vitré, que l’idée de la participation citoyenne est née dans les communes d’Etrelles et Torcé.

Des élus volontaires

Depuis plusieurs années, Torcé comme Étrelles souffrent de cambriolages à répétition. Les échangeurs de la voie express à proximité rendent la fuite des voleurs aisée et donc le travail des gendarmes d’autant plus difficile.

« Nous nous sommes réunis avec le lieutenant qui nous a proposé une solution commune : la participation citoyenne », détaille Yannick Fouet, le maire de Torcé.

Également testé à Vitré, dans le quartier de la Massonnais, le dispositif consiste à encourager les habitants à adopter une attitude vigilante et solidaire, en informant des référents de faits inhabituels dans leur voisinage par exemple.

« Nous ne voulions pas de problème de délation »

Marie-Christine Morice, la maire d’Étrelles, revient sur la mise en place du dispositif.

Dans les deux communes, nous avons décidé de désigner des élus volontaires comme référents. Nous ne voulions pas de problème de délation.

Pas question en effet de surveiller ses voisins, mais bien de repérer des signes anormaux, comme la présence d’une voiture inconnue, stationnée devant chez un voisin absent.

Yannick Fouet, le maire de Torcé, se souvient.

J’ai eu un cas comme cela l’année dernière. Un élu m’avait appelé pour me signaler une voiture suspecte, et j’avais pris la plaque et l’avais envoyée aux gendarmes. Et effectivement, ça avait permis de résoudre une affaire de cambriolage très vite.

L’objectif est en effet bien de compléter l’action des gendarmes et de leur faire gagner du temps dans la résolution des enquêtes.

Pour la gendarmerie, rien que l’installation d’une signalétique a un impact sur les cambriolages.

Les élus des deux villes ne se sont pas encore mis d’accord sur le choix des panneaux mais ils savent déjà qu’ils seront disposés à l’entrée de chaque commune et aussi au niveau de leur échangeur respectif.

Une quinzaine de référents

À Étrelles comme à Torcé, le dispositif a été voté en conseil municipal. Reste désormais à présenter les élus volontaires, qui seront les référents en contact avec la gendarmerie.

« Il y en aura dix à Étrelles, neuf élus et moi-même », précise Marie-Christine Morice.

« Et cinq ou six à Torcé », ajoute Yannick Fouet.

Tous seront présentés lors d’une réunion publique et commune aux deux villes, lundi 28 janvier.

 

Infos pratiques : Réunion publique lundi 28 janvier, à 19 h 30, à la salle polyvalente de Torcé.

Des produits fermiers 24h/24 et 7j/7 à la ferme du Chapon, à Bois-Guillaume, près de Rouen

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La ferme du chapon est située au 3045 de la rue de la Haie, à Bois-Guillaume sur le plateau Nord de Rouen (Seine-Maritime),

La ferme du chapon est située au 3045 de la rue de la Haie, à Bois-Guillaume sur le plateau Nord de Rouen (Seine-Maritime), (©Le Bulletin. )

Au 3045 de la rue de la Haie, à Bois-Guillaume sur le plateau Nord de Rouen (Seine-Maritime), ni résidence, ni boutique à la mode, mais une maison particulière en contrebas de grands bâtiments agricoles. L’un protège du matériel et l’autre accueille des animaux avec un espace de vente de produits fermiers, ouvert uniquement le samedi. Souriante, Noémie Dutot rappelle l’histoire familiale de La ferme du chapon

« En 1974, Madame et Monsieur Dutot, mes beaux-parents agriculteurs, reprennent une exploitation centrée sur les vaches laitières et les cultures. Dès 1985, pour les fêtes de fin d’année, ils élèvent des chapons : des poulets castrés nourris au lait d’où une chair moelleuse » relate-t-elle. Son mari, Frédéric, possédait une ferme au sein de la Bretèque. « Il a commencé de travailler avec son père, dès 1997, ce qui a généré un groupement agricole d’exploitation commune (G.A.E.C.). ». L’ensemble ainsi créé s’étend alors sur 170 hectares pour une activité variée reposant sur vaches, chapons et cultures : blé, orge, maïs fourrager, foin, lin, colza avec, également, des herbages à Bois-Guillaume et Isneauville.

L’arrivée de Bernard et Noémie

2002. Bernard Dutot reprend la part de son père dans la G.A.E.C. et s’installe ainsi avec son frère Frédéric. Quant à Noémie, depuis 2001, elle est salariée de l’exploitation avec une activité variée : traite des animaux, administration et vente directe.

En 2009, je suis devenue agricultrice mais je continue de m’occuper des ventes directes à La ferme du chapon le samedi de 9 à 12 heures, seul jour d’ouverture. Ce qui me plait dans mon métier, ce sont le plaisir de la relation avec les animaux, le contact avec les gens et l’esprit de créer ! 

À l’écoute de la clientèle

En parlant de création, le moment est venu pour Noémie d’évoquer cet abri singulier qui se présente désormais à l’entrée de la ferme : « Au cours de mes nombreux samedis de vente en direct, j’ai entendu nombre de clients réclamer que le point de vente ouvre un autre jour de la semaine. Cela aurait été possible si la rentabilité était au rendez-vous ce qui était peu probable car cela n’aurait pas fait venir plus les gens qui travaillent. Nous avons finalement écouté cette demande et trouvé une solution permettant d’assurer une plage maximale d’ouverture : le distributeur automatique de produits 24/24 heures et 7/7 jours ».

109 casiers disponibles

Convaincus de la pertinence du modèle économique après plusieurs visites aux Vergers du Quesnay, un producteur de jus de pomme à Fresquienne, près de Pissy-Poville, La ferme du chapon se rapproche du fournisseur du matériel. « Il est venu sur place pour trouver comment l’adapter au lieu et à nos besoins », précise Noémie. Le bâtiment comporte 109 casiers de plusieurs tailles pour accueillir la production (uniquement lait cru) et celles de sept autres producteurs de Seine-Maritime. « Certains produits sont réfrigérés : lait cru, fromages, beurres, crèmes et volailles. Nous avons dû investir dans deux groupes de froid », poursuit Noémie. D’autres produits sont également proposés comme légumes, œufs, terrines, rillettes, plats cuits, pommes, jus de pommes.

Un départ très encourageant

Disponible depuis le 22 novembre dernier, ce nouveau service semble déjà enchanter la clientèle qui trouve cela génial. Pour l’heure tout fonctionne bien et ce sont les légumes, volailles et jus divers qui sont les plus renouvelés : « Dernière exploitation agricole de la commune, et avec l’exclusivité du chapon , nous sommes les seuls à offrir cette disponibilité ici. Les clients qui venaient déjà me voir le samedi sont rassurés par la machine car ils savent qui est derrière elle. J’ai aussi constaté que beaucoup de personnes retraitées utilisait nos distributeurs », fait valoir Noémie.

Infos pratiques
Contact : 02 35 60 26 61 / Page Facebook : Ferme du chapon

Football. JS Cavan : Stéphane Le Person buteur...puis gardien !

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Intervention de Stéphane Le Person en fin de partie. L'attaquant d el' JS Cavn a assuré l'intérim dans les buts parès l'e carton rouge de Kilian Abalam un peu avant la mi-temps.

Intervention de Stéphane Le Person en fin de partie. L’attaquant de la JS Cavan a assuré l’intérim dans les buts après le carton rouge de Kilian Abalam un peu avant la mi-temps. (©Le Trégor. Bernard Guilcher)

Il a repris en janvier après sa blessure. Après avoir (déjà) marqué, une semaine plus tôt en Coupe Ange-Lemée contre l’AS Trédrez, Stéphane Le Person a ouvert le score dimanche dernier (20′) contre l’US Plouisy  en championnat de R3.

« Contrôle, plat du pied gauche et but »

Ludo Le Mat, l’entraîneur de la JS Cavan, raconte :

Au départ, il y a un gros travail de Patrick Mirande. TT récupère la chique. Contrôle, plat de pied gauche et but ! »

Un quart d’heure plus tard, coup dur pour les Cavannais qui perdent leur gardien. Kilian Abalam écope d’un rouge pour un tâcle trop appuyé sur un attaquant de Plouisy.

« Kilian avait fait le job »

Ludo Le Mat commente :

Il met trop de temps à sortir. Il y a faute, c’est sûr mais c’est dur car Kilian avait fait un bon job avant. Il avait été décisif sur un coup-franc et avait réussi à préserver notre 1-0… »

Stéphane Le Person a donc assuré l’intérim. Bien protégé par Samuel Abalam et la défense, il a préservé sa cage.

Mais nul doute qu’en doublant le score à la 72′, Kevin Hamon a rassuré tout le monde !

Aveyron : le quartier général des gilets jaunes détruit par un incendie en pleine nuit, à Rodez

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Le « QG » des gilets jaunes de Rodez (Aveyron) a été ravagé par les flammes, dimanche 27 janvier 2019 au petit matin. C'est le 3e dans la région en quelques jours.

Le « QG » des gilets jaunes de Rodez (Aveyron) a été ravagé par les flammes, dimanche 27 janvier 2019 au petit matin. C’est le 3e dans la région en quelques jours. (©Facebook / QG Rodez)

Les faits se sont produits dans la nuit de samedi 26 à dimanche 27 janvier 2019, en pleine nuit. Le « quartier général » des gilets jaunes de Rodez (Aveyron) a été ravagé par un incendie « dont on ignore encore la cause », rapportent nos confrères de Centre Presse.

L’abri entièrement détruit

Toujours est-il que vers 2h30 du matin, le feu a entièrement calciné le fief ruthénois des gilets jaunes, situé au niveau du giratoire de Saint-Félix, devant le Mc Do, près de la route d’Albi (Tarn), où il ne restait dimanche qu’un tas de cendres, des palettes et une armature de tente en ferraille. Le journal aveyronnais rapporte qu’une trentaine de militants s’y relayaient quotidiennement sur place. 

Une semaine après des incendies à Villefranche et Graulhet

S’agit-il d’un incendie accidentel ou volontaire ? Une enquête a été ouverte par les policiers pour faire toute la lumière sur cette affaire. France 3 Occitanie précise « qu’une voiture a été endommagée par les flammes ».

À noter que le sinistre s’est produit une semaine après ceux survenus à Villefranche-de-Rouergue (Aveyron) et à Graulhet (Tarn).

En quête d’un nouveau « QG » à Rodez

Du côté de Rodez, les Gilets Jaunes du « QG » ont indiqué sur les réseaux sociaux qu’ils se cherchaient un nouveau pied-à-terre. Ils sont en quête d’un « terrain privé pour s’installer afin de se réunir », car expliquent-ils, « le propriétaire du Mc Do ne souhaite plus nous accueillir ».

Suite à l'incendie du QG Rodez dans la nuit de Samedi à Dimanche, fort heureusement sans gravité. Les Gilets Jaunes du…

Publiée par QG Rodez sur Dimanche 27 janvier 2019

Toulouse : bientôt une nouvelle ligne de bus pour « mieux desservir les zones d'emploi »

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Cette ligne de 15 kilomètres desservira 24 000 habitants et 50 000 emplois. (©Tisséo)

« Mieux desservir les zones d’emploi », tel est objectif de cette nouvelle ligne de bus. Une convention entre Toulouse Métropole et Tisséo Collectivités a été approuvée jeudi 24 janvier 2019 pour la réalisation de cette ligne qui desservira l’Oncopole, Basso Cambo et Colomiers.   

Le montant des travaux est estimé à 3,54 millions d’euros. Il comprend le réaménagement et la mise en accessibilité des arrêts, l’aménagement de voirie à Toulouse, Tournefeuille et Colomiers et les études de faisabilité.

Mise en service en janvier 2021

La mise en service de ce nouveau maillon est annoncée en janvier 2021, soit quelques semaines après l’ouverture du téléphérique. 

LIRE AUSSI : Avec son projet de téléphérique en 2020, Toulouse veut devenir une référence nationale

Cette ligne de 15 kilomètres desservira 24 000 habitants et 50 000 emplois. Ce bus pourra transporter environ 3 000 voyageurs par jour, avec une fréquence en heure de pointe de 10 minutes.

LIRE AUSSI : Marre des bouchons à Toulouse ? Des maires appellent à signer une pétition pour dire « stop »

Renforcer l’intermodalité

Cette nouvelle ligne « participera à l’intermodalité du réseau de transport, car elle permettra de rejoindre le téléphérique, le métro A et la 3e ligne de métro à terme, la ligne ferroviaire et les Linéo 2, 3, 4 et 5 », souligne Toulouse Métropole.

LIRE AUSSI : La 3e ligne de métro prend du retard à Toulouse : elle sera livrée au plus tôt en 2025 au lieu de 2024

Yvelines. Municipales 2020 : Poissy Demain se donne six mois pour rassembler

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Nathalie Martin et Emeric Vallespi entourés de nouveaux membres de Poissy Demain : Sandra Prattico, Pisciacaise depuis 20 ans, Philippe Couzinou, Pisciacais depuis 2000 et Gauthier Leblond, Pisciacais, étudiant à Sciences Po Paris.

Nathalie Martin et Emeric Vallespi entourés de nouveaux membres de Poissy Demain : Sandra Prattico, Pisciacaise depuis 20 ans, Philippe Couzinou, Pisciacais depuis 2000 et Gauthier Leblond, Pisciacais, étudiant à Sciences Po Paris. (©Thomas Richardson/ Le Courrier des Yvelines)

Autour de Nathalie Martin et Emeric Vallespi, le collectif Poissy Demain créé en octobre 2017, a présenté la synthèse de son travail de diagnostic auprès des habitants de Poissy (Yvelines).

Le collectif qui se présente comme transpartisan mais progressiste, composé d’une quinzaine de membres, se donne désormais six mois pour élaborer un projet en réponse aux besoins exprimés par les habitants rencontrés.

Si nous réussissons à fédérer autour de notre projet, alors nous nous constituerons en association. »

Avec à la clé, le cas échéant, la présentation d’une liste aux prochaines municipales à Poissy.

Pendant six mois, l’an dernier, Poissy Demain avait organisé, en lien avec le collectif Agir pour Carrières-sous-Poissy, plusieurs ateliers thématiques.

Nous avons également rencontré les habitants dans tous les quartiers de Poissy, en porte à porte, commentent Nathalie Martin et Emeric Vallespi. Au total, nous avons rencontré près de 800 personnes. »

De ces échanges, quatre thématiques se distingueraient : le lien social, le développement durable et le cadre de vie, l’action municipale au quotidien et la démocratie locale.

Combattre l’isolement social

Sur le premier volet, le collectif relève cette demande générale : stimuler la rencontre et le dialogue et combattre l’isolement social. Cela passe par la promotion de l’intergénérationnel dans les actions et les manifestations impulsées par la Ville, avec un programme d’activités adaptées aux différentes tranches d’âges.

Certains habitants réclament la mise en place de dispositifs pour le soutien des populations les plus fragiles (en situation de handicap, en grande précarité, isolées, etc.).

Le collectif note aussi cette demande d’une « véritable politique pour accompagner le tissu associatif dans son ensemble, avec la création de temps forts tout au long de l’année ».

Lutte contre les pollutions

Sur la thématique du développement durable, Poissy Demain note la demande que la ville devienne « un modèle en termes de qualité de vie avec la lutte contre tous les types de pollution. Deux chantiers ont émergé : la mise en place de parcours de circulation douce et la lutte contre la pollution sonore, notamment dans le cadre d’Eole. »

Parmi les autres demandes liées au thème : favoriser les circuits courts, améliorer la propreté dans la ville et la végétaliser davantage.

Poissy Demain s’interroge de son côté sur « une prolifération débridée de constructions dans la commune ».

Le collectif pointe du doigt le futur quartier Rouget-de-Lisle, pour lequel « la question de la pollution des sols n’a pas été réglée avant le début des constructions » ou encore l’extension du Technoparc, « alors que des villes voisines peinent à rendre viables des projets existants ».

Transparence

Concernant le troisième sujet, le collectif note la demande d’une « information complète concernant les dépenses publiques ».

Des interrogations ont remonté concernant les dépenses de la Ville en matière de (sur) communication. Poissy Demain estime de, son côté, que la transparence, garante de la participation, est une valeur importante.

Les budgets, procès-verbaux des conseils municipaux, l’organigramme complet de la mairie devraient être librement accessibles. »

Enfin, en matière de démocratie locale, les demandes recueillies portent sur l’organisation « d’une consultation permanente avec une structuration par quartier afin de faire du citoyen un acteur de la gestion de la ville » ou « l’adoption d’une logique collégiale au sein du conseil municipal permettant l’expression des oppositions ».

Pratique : rens. : poissydemain@gmail.com ou http://poissydemain.wixsite.com/poissy


Loisirs : la Chine et le Brésil s'invitent à Bayeux pour les vacances d'hiver

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Le Nouvel an chinois sera à l'honneur au 3 Dix-huit pendant les vacances de février 2019.

Le Nouvel an chinois sera à l’honneur au 3 Dix-huit pendant les vacances de février 2019. (©Illustration/Pixabay)

Les vacances d’hiver approchent à grands pas à Bayeux (Calvados), du samedi 9 au lundi 25 février 2019, il est temps d’inscrire les plus jeunes à des activités. 

Le centre de loisirs 3 Dix-Huit ouvre les inscriptions pour les vacances et les mercredis du 27 février au 3 avril. 

Nouvel an chinois et carnaval de Rio au programme

Pour la semaine du 11 au 15 février, le Nouvel an chinois est à l’honneur pour les 3-10 ans et 11-13 ans. Au programme : construction d’un Majhong, Kung fu et grande soirée pour célébrer le Nouvel an.

Pour se réchauffer un peu, direction le Brésil. Les petits bayeusains vont pouvoir fêter le carnaval de Rio du 18 au 22 février. Sont prévus : confection de masques et de bracelets brésiliens, initiations à la samba, batucada et capoeira 

Pratique. 3 Dix-huit, Place aux pommes. Contact : 02 31 51 60 65 ou par mail 3dix-huit@mairie-bayeux.fr

Nozay : à cran, un père de famille qui essayait d'arrêter de fumer tente d'étrangler son fils de 12 ans

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Le prévenu, originaire de Nozay (Loire-Atlantique), a admis avoir "bousculé" son fils aîné, et lui avoir donné "deux gifles".

Le prévenu, originaire de Nozay (Loire-Atlantique), a admis avoir « bousculé » son fils aîné, et lui avoir donné « deux gifles ». (©Fotolia)

Un père de famille de Nozay (Loire-Atlantique) a été condamné mercredi 23 janvier 2019 par le tribunal correctionnel de Nantes à six mois de prison avec sursis et à une mise à l’épreuve de deux ans, après avoir tenté d’étrangler son fils de 12 ans et commis d’autres violences sur son frère de 10 ans, le 15 novembre 2017.

En plein sevrage tabagique

Le prévenu – qui était alors en plein « sevrage tabagique et cannabique » – aura obligation de suivre des soins psychiatriques et d’effectuer un stage de « responsabilisation parentale ». Il devra aussi verser 500 € de dommages et intérêts à chacun de ses deux fils, qui pourront toucher l’argent à leurs 18 ans : il sera bloqué d’ici là sur un compte.

Ce chauffeur routier de 41 ans, actuellement au chômage, sera aussi contraint de rechercher activement du travail ou une formation.

Il a été incapable d’expliquer clairement pourquoi il s’était énervé ce jour-là : il a été dit, pêle-mêle, que son fils aurait « volé une pièce de 1 € », qu’il aurait eu « de mauvaises notes à l’école » ou bien qu’il lui aurait dit « Ta gueule »…

LIRE AUSSI : Zad de Notre-Dame-de-Landes : cinq personnes mises en examen pour des faits d’enlèvement et de séquestration

« J’ai pété les plombs »

Devant un expert, au cours de l’enquête, il avait admis avoir « bousculé » son fils aîné, et lui avoir donné « deux gifles ». Il aurait aussi l’habitude de soulever ses enfants « par le T-shirt », ou de donner « des claques derrière la tête » à sa belle-fille.

« Je reconnais les faits, j’ai merdé… J’ai pété les plombs », a simplement confessé le prévenu.

Mon père aussi a essayé de m’étrangler quand j’étais petit, et la justice n’a jamais été là pour moi », s’est-il par ailleurs défendu.

« Ce n’est pas une raison », l’a coupé d’emblée la présidente du tribunal correctionnel de Nantes, alors que son fils aîné assistait au procès.

« Ce petit garçon a servi de punching-ball, d’exutoire à la colère de son père », a appuyé Me Agathe Bignan, l’avocate des services sociaux du conseil départemental de la Loire-Atlantique, qui défendait les intérêts de l’enfant. « Monsieur doit savoir qu’il y a un vieux dicton qui dit « Aide-toi, et le Ciel t’aidera »… On n’a pas l’impression qu’il l’applique. »

L’homme, qui avait déjà six inscriptions au casier judiciaire, était considéré en récidive : il avait déjà été reconnu coupable de faits similaires en mars 2013.

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GF (PressPepper)

Municipales 2020 : le maire de Nancy veut une fusion des 20 communes de la métropole

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Vue du centre-ville de Nancy et de la place Stanislas.

Vue du centre-ville de Nancy et de la place Stanislas. (©Wikimédia)

La ville de Nancy (Meurthe-et-Moselle) pourrait-elle bientôt devenir une grande commune de près de 260 000 habitants ? C’est en tout cas le projet d’agglomération auquel s’accroche le maire radical Laurent Hénart, depuis son annonce du 14 décembre 2018.

L’idée est de fusionner les 20 communes qui composent la métropole du Grand Nancy. Depuis l’émergence de la loi NOTRe en 2015, certaines villes de population relativement importante ont procédé de la sorte, dont Annecy (Haute-Savoie) et Cherbourg (Manche).

Annecy compte désormais 126 000 habitants, tandis que Cherbourg-en-Cotentin (la dénomination officielle depuis 2016) en compte 80 000.

À LIRE AUSSIÉconomies, impôts, fusion des communes… les propositions chocs du maire de Nancy à la métropole

Les avantages de la fusion selon Laurent Hénart

Pour l’élu, une fusion des 20 communes permettrait une mutualisation des moyens sans entraîner d’augmentation de la fiscalité. De plus, la commune nouvelle ne nécessiterait qu’un seul service technique et une seule direction générale des services. Il estime que la ville-centre doit pouvoir proposer des solutions pour les autres communes de la banlieue.

Laurent Hénart affirme également que cette fusion permettrait de réaliser des économies de fonctionnement pour le financement de grands projets, comme la transition énergétique et la refonte des transports de l’agglomération, sans augmenter les impôts.

Le premier magistrat assure que les habitants de cette nouvelle entité administrative ne perdront pas la proximité avec leur maire délégué, ni leur identité. Enfin, cette fusion a également pour objectif d’accroître la démocratie locale.

À LIRE AUSSIFusion des communes du Grand Nancy : des maires disent déjà non à la proposition de Laurent Hénart

Étendre la métropole jusqu’à Toul, Lunéville et Pont-à-Mousson

Laurent Hénart voit déjà plus loin que la fusion des communes de la métropole. Selon lui, dans les années à venir, Toul, Lunéville ou encore Pont-à-Mousson pourraient y être intégrées. Dans l’Est Républicain, il explique : 

Combien de temps les citoyens qui boudent la représentation politique, vont-ils accepter des limites administratives qui ne correspondent plus à leur vie réelle, à ce qu’ils vivent ?

Pour l’instant, les trois principales villes voisines de Nancy n’entrent pas dans le débat et ne semblent pas vouloir intégrer une métropole XXL. Encore moins à un an du renouvellement du mandat de maire. Pour ces élus de communes moyennes, l’argument électoral de « l’absorption » par la « grande ville » peut être fatal. 

Mathieu Klein (4e en partant de la gauche), actuel président (PS) du conseil départemental de Meurthe-et-Moselle, a refusé un poste de ministre dans le nouveau gouvernement d'Édouard Philippe.

Mathieu Klein (4e en partant de la gauche), actuel président (PS) du conseil départemental de Meurthe-et-Moselle, a refusé un poste de ministre dans le nouveau gouvernement d’Édouard Philippe. (©Nicolas Zaugra/Lorraine Actu)

Avant les municipales de 2020, Mathieu Klein contre

La proposition choc de Laurent Hénart n’intervient pas à n’importe quel moment : nous sommes à un an des élections municipales. Le maire sortant devrait bien être candidat à sa réélection, son équipe y travaille déjà. Cette volonté de fusionner Nancy avec les 19 autres communes de la métropole est déjà une esquisse de son futur programme. 

La campagne a déjà commencé en coulisses ces dernières semaines et les premières propositions de fond commencent à émerger dans le débat public. La semaine dernière, le socialiste Mathieu Klein, candidat malheureux en 2014 face au maire, a proposé que les transports en commun de la métropole puissent devenir entièrement gratuits. Il plaide aussi pour des places plus vertes et un centre-ville piéton plus large. La bataille a commencé entre les deux rivaux…

L’actuel président du Conseil départemental de Meurthe-et-Moselle est d’ailleurs contre la fusion des communes du Grand Nancy. Il a assuré il y a quelques jours lors d’un entretien avec des journalistes, dont Lorraine Actu

C’est une vision datée. La métropole est une bonne chose pour l’attractivité. Mais dès le lendemain de sa création en 2016 on nous disait qu’il fallait l’agrandir. Il faut passer dans l’ère de la coopération mais pas forcément dans l’agrandissement, ce n’est pas la seule perspective. Il ne s’agit pas de manger l’autre (…)

Le « rappel à l’ordre » d’André Rossinot, des maires peu motivés

L’actuel président de la métropole n’est pas emballé par la proposition de son ex-adjoint devenu maire de Nancy, 31 ans après lui. Et c’est le moins que l’on puisse dire. Lors de sa cérémonie de vœux, André Rossinot a sèchement recadré le maire de la cité ducale durant son discours : 

Dans l’histoire de la Métropole, il n’y a pas de place pour les aventures individuelles (…) C’est toujours celui qui se veut capitaine qui appelle au travail d’équipe.

Du côté des maires concernés, on ne se bat pas pour défendre la proposition de Laurent Hénart. Le maire PS de Tomblaine est contre et dénonce une opération « électoraliste » tandis que celui de Saint-Max (LR) critique le calendrier à un an des élections. 

Pour le maire centriste de Villers-lès-Nancy, on estime que les habitants ne sont pas prêts même si le débat « peut être ouvert ». Enfin, pour Vandœuvre-lès-Nancy, seconde ville de la métropole en nombre d’habitants, ce n’est pas « le moment » de mettre ce sujet ultra sensible sur la table. Le débat, le premier d’ampleur à une année du futur scrutin municipal, ne fait que commencer. Et Laurent Hénart compte bien appliquer son idée notamment en prenant la métropole s’il est réélu dans son fauteuil de maire de Nancy. 

Avec Nicolas Zaugra

Le Perche accueille le Jeu des 1000€

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France Inter et le Jeu des 1 000 euros font une halte dans le Perche.

France Inter et le Jeu des 1 000 euros font une halte dans le Perche. (©Le Perche.)

Perche-en-Nocé (Orne). Le 31 janvier, le fameux « Cher Amis, Bonjour » de Nicolas Stoufflet, animateur du Jeu des 1000€ de France Inter, résonnera dans la salle des fêtes de Nocé.

À partir de 18 h 30, Nicolas accueillera les candidats et les spectateurs pour l’émission le « Jeu des 1000€ ».

Aucune inscription préalable n’est nécessaire. Les volontaires se présentent, à 18 h 30, à l’entrée de la salle de la salle des fêtes pour participer aux sélections.

À l’issue de celles-ci, deux équipes adultes et une équipe « spéciale jeune », réservée aux collégiens et lycéens, seront constituées par Nicolas pour répondre aux célèbres questions blanche, bleu et rouge avant d’attaquer le Banco et Super banco.

Testez votre culture générale

« La sélection repose sur des tests de culture générale complétés, le cas échéant, par un tirage au sort pour départager les ex-æquo « Les gens font parfois 50 km pour jouer », explique Nicolas. « En début d’émission, je fais toujours une présentation de la commune qui nous accueille. Notre but est de découvrir ces communes, mais aussi de les faire découvrir ».

La visite dans le Perche continuera le vendredi 1er février, à l’espace Octave Mirbeau de Rémalard, à partir de 18 h 30 pour deux enregistrements adultes.

Les enregistrements de Nocé seront diffusés du 25 au 27 février et ceux de Rémalard, le 28 février à partir de 12 h 45, sur les ondes de France Inter.

 

Pratique

Jeudi 31 janvier à Perche-en-Nocé. Sélections et enregistrements (2 émissions adultes et une autre émission spéciale jeunes) – à 18 h 30 à la salle des fêtes.

Vendredi 1er février 2019 à Rémalard-en-Perche. Sélections et enregistrements (2 émissions adultes) – à 18 h 30 à l’espace Octave Mirbeau.

Val-d'Oise. La propriété Lorillon devient un hôtel restaurant à Ecouen

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L'ancienne propriété Lorillon sera transformée en hôtel restaurant.

L’ancienne propriété Lorillon sera transformée en hôtel restaurant.

« Par ce projet, la commune d’Écouen souhaite dynamiser et soutenir le développement des offres touristiques sur son territoire », expliquait Catherine Delplat, maire (Dvg) d’Écouen, lors de la remise du Trophée de l’innovation décerné, le 11 janvier, par le Département à la commune.

Écouen veut profiter de ses atouts pour devenir un lieu de visite prisé du Val-d’Oise, à travers un patrimoine culturel regroupant le musée national de la Renaissance, l’école des Peintres et l’église Saint-Acceul, dans un cadre paysager en lisière de forêt domaniale.

Valoriser le patrimoine

Pour y parvenir, la Ville a clairement établi, dans son Plan local d’urbanisme (Plu), « sa volonté de valoriser son patrimoine urbain et architectural pour répondre aux aspirations des modes de vie contemporains et mettre en exergue sa capacité à développer une offre touristique de qualité », détaille-t-on en mairie.

Ce projet ambitieux concerne la réhabilitation d’une villa du XIXe siècle, nichée dans le parc arboré du centre-ville, au pied du château. Les travaux en cours portent sur un espace de restauration au rez-de-chaussée, d’une quarantaine de couverts, avec une extension en verrière donnant sur le parc et deux étages consacrés à la création de cinq chambres, toutes accessibles Pmr (personne à mobilité réduite).

« Dans un souci de protection du patrimoine, ce projet architectural a été validé par l’architecte des bâtiments de France », précise la mairie.

Le Département a apporté un soutien financier de 35 000 euros, dans le cadre du Trophée de l’innovation touristique.

A Challans, Brownie, croisé Beauceron, attend une nouvelle famille

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Brownie est à adopter.

Brownie est à adopter. (©Courrier vendéen.)

Brownie , croisé Beauceron de 13 ans , a été oublié par son propriétaire à la fourrière de Saint-Jean-de-Monts. Le refuge l’Arche de Noë l’a recueilli. Sa responsable souligne :

« Nous l’avons accueilli au refuge mais nous cherchons pour lui un « panier retraite » , la vie en box froid et humide est trop dure pour lui. Il lui faut un panier douillet et un peu d’amour. Il est en bonne santé et vraiment adorable. Pensez à lui ! »

Renseignements : L’Arche de Noë. Chemin de Genêts. Challans. 02 51 68 12 07.

Victime de harcèlement scolaire, Julie Martin témoignera mercredi 30 janvier à Beuzeville

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Julie Martin et Isabelle Grente animeront une conférence-débat, mercredi 30 janvier, sur le thème du harcèlement scolaire.

Julie Martin et Isabelle Grente animeront une conférence-débat, mercredi 30 janvier, sur le thème du harcèlement scolaire.

Le harcèlement scolaire, Julie Martin en a été victime pendant son adolescence, au collège Jacques Brel de Beuzeville (Eure). Des années de souffrance qui l’ont plongée dans l’anorexie. À l’âge de 20 ans, elle ne pesait qu’une vingtaine de kilos.

Les années ont passé et la jeune femme courageuse a su relever la tête et retrouver la « Faim de vivre ». Cette expression est le titre de son récit autobiographique publié en 2017, dans lequel elle raconte cette longue descente aux enfers.

Le danger des réseaux sociaux

Le mercredi 30 janvier, Julie Martin livrera son témoignage poignant lors une soirée débat qui aura pour thème le harcèlement scolaire, organisée à la librairie associative Les Pépites de Beuzeville. À ses côtés, Isabelle Grente, professeur d’anglais au collège Jacques Brel. L’enseignante évoquera les dispositifs de prévention mis en place au sein du collège de Beuzeville et les signes qui peuvent alerter les professeurs sur un possible cas de harcèlement. Comment les détecter ? Isabelle Grente cite quelques exemples :

« Des élèves qui font tout pour ne pas attirer l’attention, qui ne sortent pas de classe durant la récréation ou qui se mettent à parler avec leur enseignant uniquement quand les autres élèves ne sont pas présents, sont des signes qui doivent interpeller l’enseignant. »

Cette conférence sera aussi l’occasion de mettre en avant le danger des réseaux sociaux. « Au collège, des parents sont déjà venus m’apporter des copies de messages de harcèlement reçus par leur enfant sur Facebook. Les réseaux sociaux sont une catastrophe. Lorsqu’ils n’existaient pas, le harcèlement ne se prolongeait pas en dehors de l’école. Les victimes pouvaient encore avoir un havre de paix », analyse Isabelle Grente.

Conférence-débat sur le thème du harcèlement scolaire, mercredi 30 janvier, à 18 h 30, à la librairie Les Pépites, 5, rue de la Bertinière, près de l’église à Beuzeville.


Handball N3M . Loudéac défie l'ogre, samedi

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Nicolas Grall, le 4e meilleur réalisateur de la poule sera l'un des principaux arguments loudéaciens face à Saint-Cyr.

Nicolas Grall, le 4e meilleur réalisateur de la poule sera l’un des principaux arguments loudéaciens face à Saint-Cyr. (©Le Courrier Indépendant)

Disputer un derby à l’extérieur n’est jamais chose facile. Surtout quand l’équipe qui reçoit joue son avenir en N3. Mais Loudéac n’a pas tremblé, et a dominé la rencontre de la tête et des épaules (24-36), remportant ainsi à Bruz (Ille-et-Vilaine), son troisième succès consécutif, et le cinquième acquis à l’extérieur.

L’ogre arrive

De quoi se forger un moral d’acier, avant la venue samedi, de l’ogre Saint-Cyrien. Une montagne, que cette équipe : neuf victoires et un nul en dix matches.Elle survole la poule depuis le premier jour, et occupe à ce jour la première place avec 29 points. Presque un carton plein. Seule l’équipe de… Bruz à su la tenir en échec en décrochant le nul. C’était en octobre dernier…

La meilleure défense…

Cet ogre invaincu doit sa force à sa défense de fer : 240 buts encaissés. La plus efficace de la poule. Mais l’attaque n’est pas en reste : 316 buts marqués en dix matches, la deuxième plus performante de la poule, avec trois maîtres artilleurs : Jillian Thévenet , 7e meilleur réalisateur de la poule (57 buts) ; Simon Laout, 9e avec 54 buts, Mathieu Morin, 10e avec 53 buts. Une équipe faite pour gagner, pour monter.

Le retour de Simon Laout

On notera au passage que Simon Laout, l’ancien Loudéacien, sera de retour. Il avait été le joueur le plus efficace de Loudéac, l’an passé en N2, et chacun se souvient de ses jaillissements, de ses coups de génie… et de son caractère qui lui avait valu de finir la saison sur le banc de touche, en disgrâce après un comportement qui avait nuit à la sérénité de l’équipe. Nul doute que ce talentueux mais aussi individualiste joueur viendra animé d’un certain esprit de revanche dans son ancienne salle. Car il n’a sans doute jamais digéré cette mise à l’écart.

La chance loudéacienne

Loudéac a-t-il une chance de perturber la belle machine Saint-Cyrienne ? Oui. A condition de jouer dans l’esprit de ces dernières semaines, sans complexe. Car sur le plan statistique, les Loudéaciens n’ont pas grand’chose à envier à leurs rivaux. Ils possèdent en effet la première attaque du groupe (324 buts), et trois de leurs joueurs sont au Top 10 des meilleurs réalisateurs : Tanguy Fontaine (1er avec 90 buts) ; Nicolas Grall (4e avec 64 buts) et Briendo Gaultier (8e, 54 buts). Et si leur défense est plus modeste (6e avec 273 buts encaissés), elle semble depuis quelques matches s’être stabilisée et en net progrès. Et l’arrivée de Marc-Alexandre Sobczyk semble lui avoir beaucoup apportée.

Dinan : un camion poubelle qui roule au gaz naturel

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Emmanuel Gillard, Philippe Gélard (responsable d'exploitation sur le secteur de Dinan) et Xavier Eon donnent leurs premières impressions sur le camion-poubelle à gaz, à Dominique Ramard.

Emmanuel Gillard, Philippe Gélard (responsable d’exploitation sur le secteur de Dinan) et Xavier Eon donnent leurs premières impressions sur le camion-poubelle à gaz, à Dominique Ramard. (©Le Petit Bleu des Côtes d’Armor)

« Un usager a été surpris de ne pas nous entendre arriver. Cela ne fait pas de bruit, c’est souple et sans odeur », raconte l’un des agents du service du traitement des déchets de Dinan Agglomération, communauté de 64 communes des Côtes d’Armor. Voilà quelques-unes des grosses différences que présente la benne à ordure ménagère à gaz prêtée récemment par un constructeur, à Dinan Agglomération,  par rapport aux habituels camions.

Moins polluant

La collectivité souhaite maintenant tester cette énergie après en avoir noté les bienfaits sur d’autres territoires utilisant le gaz naturel.

Dominique Ramard, vice-président de Dinan Agglo, chargé de la transition énergétique le souligne :

C’est 80 % de CO2 et 93 % de particules fines en moins rejetés dans l’atmosphère que le diesel. »

D’après les agents qui l’ont utilisé, le véhicule n’a pas montré de faiblesse malgré les spécificités des tournées de ramassage poubelles :

Il faut de la puissance pour actionner le lève-conteneurs, transporter environ sept tonnes de déchets, en s’arrêtant et repartant continuellement. »

Certes, il a moins d’autonomie qu’un camion classique mais cela ne semble pas insurmontable pour Dinan Agglo.

Une station à gaz en 2020 à Quévert

La collectivité ne basculera pas brutalement vers le GNV (gaz naturel véhicule).

Il faut déjà attendre qu’une station d’approvisionnement soit créée, en 2020, sur la zone artisanale de Bel Air à Quévert.

(pour le test, le plein de gaz a été fait à la station qui équipe la blanchisserie interhospitalière de Taden).

(pour le test, le plein de gaz a été fait à la station qui équipe la blanchisserie interhospitalière de Taden). (©Le Petit Bleu des Côtes d’Armor, Maëlenn Nicolas)

Dinan-Agglo met le terrain à disposition. Cela représente un million d’euros d’investissement en partenariat avec le Syndicat départemental d’électricité et GRDF. Nous souhaitons bien sûr que les transporteurs routiers s’y approvisionnent aussi. »

Tel est le voeu de Dominique Ramard, devenu tout récemment président d’Energie 22.

Energie 22 est une société d’économie mixte, détenue à 60 % par le SDE, à 30 % par des banques et 10% par des entreprises (Le Du industrie et Sturno). Elle a pour but d’accompagner la production d’énergie renouvelable dans le département telle, justement, cette station qui distribuera un biogaz d’origine locale » (obtenu par méthanisation de déchets agricoles et autres).

Un remplacement progressif

Dinan Agglo changera progressivement sa flotte de 14 camions pour ces véhicules moins polluants, le rythme habituel de renouvellement étant de deux ou trois par an.

Côté prix ?

Un camion au gaz est plus coûteux mais cette énergie est 30 % moins cher. Donc on s’y retrouve financièrement au bout de cinq ou six ans. »

La question se posera aussi pour les bus gratuits de Dinan Agglomération (Dinamo !)

En tout cas, le dispositif semble faire ses preuves depuis une dizaine d’années, en France, puisqu’ « il y circule environ 1.200 bennes à gaz, notamment dans les grandes agglomérations », souligne Dominique Ramard.

 

Assemblée générale de l'association Restons Jeune en Retraite de Eu

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L'assemblée générale de Restons Jeune en Retraite avec le maire Yves Derrien
exceptionnellement.

L’assemblée générale de Restons Jeune en Retraite avec le maire Yves Derrien exceptionnellement.

Avant que l’assemblée générale commence, une minute de silence a été demandée en l’honneur des membres décédés en 2018. 

Ouverture de l’assemblée

À la suite de ce moment solennel, la réunion a débuté par les finances de 2018 avec la trésorière Jeanne Marie Cloquette. De même que 2017 l’association a fait des bénéfices.

Le président Jean-Paul Amourette a fait quelques demandes au maire, Yves Derrien : une caméra de surveillance pour le parking de la salle et avec humour, d’avoir plus souvent la salle. Lors de ça prise de parole, le maire a annoncé vouloir « faire voter au conseil municipal des tarifs d’exception pour la salle Audiard ».

Partons pour 2019

Le président a annoncé le programme de cette année. Les 272 adhérents vont pouvoir participer à de nombreuses manifestations. Il y aura des sorties, des spectacles, des repas. Le plus important dans le programme, c’est le voyage au Portugal et le repas du printemps où les 40 ans de l’association et les 100 ans de Mme Charlet seront fêtés.

Le président a annoncé le voyage en Russie en 2020 qui a agréablement surpris l’assemblée.

Ceux qui restent, partent et arrivent

Il y a eu du changement chez les membres du bureau. Pour les renouvellements, Françoise Cointrel, Denise Derambure, Agnès Pieau, Nicoles Tellier et Patrice Duneufgermain sont renouvelés. L’ancienne présidente, Françoise Cointrel, a été nommée présidente d’honneur. Michèle Harbout, Colette Folly et André Folly démissionnent du bureau.

Pour finir Françoise Buffet, Christine Dautresire et Jean Monteroso sont devenus membre du bureau.

Perros-Guirec. Rencontres ciné : les quatre films du jour

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Les membres de l'association La règle du jeu, organisateurs des 19 è rencontres cinématographiques des Cötes de Bretagne.

Les membres de l’association La règle du jeu, organisateurs des 19e rencontres cinématographiques des Côtes de Bretagne à Perros-Guirec. (©Le Trégor)

20 films en avant-première et près de 500 festivaliers attendus à Perros-Guirec pour les 19 è rencontres cinématographiques des côtes de Bretagne.  DU 29 janvier au 2 février, aux Baladins à Perros-Guirec, réalisateurs et acteurs vont venir défendre leurs films. Une partie de ces projections est ouverte au public (6 euros). 

Le programme du mardi 29 : 

10 h 20 : La camarista  (réservé aux accrédités).

14 h : Boy erased  de Joy Edgerton (ouvert au public).

L’histoire : L’histoire de Jared, fils d’un pasteur dans une petite ville américaine, dont l’homosexualité est dévoilée à ses parents à l’âge de 19 ans. Jared fait face à un dilemme : suivre un programme de thérapie de reconversion – ou être rejeté pour toujours par sa famille, ses amis et sa communauté religieuse. 
Boy erased est l’histoire vraie du combat d’un jeune homme pour se construire alors que tous les aspects de son identité sont remis en question.

16 h : Les drapeaux de papier de Nathan Ambrosioni, qui sera présent à Perros-Guirec 

L’histoire : Charlie, bientôt 24 ans, mène une vie sans excès : elle se rêve artiste et peine à joindre les deux bouts.
Quand son frère vient la retrouver après douze ans d’absence, tout se bouscule. Vincent a 30 ans et sort tout juste de prison où il a purgé une longue peine. Il a tout à apprendre dans un monde qu’il ne connait plus. Charlie est prête à l’aider. C’est son frère après tout, son frère dont la colère peut devenir incontrôlable et tout détruire malgré lui.

19 h 30  : Raoul Taburin de Pierre Godeau, qui sera présent aux Baladins. 

Une adaptation de la BD de Sempé avec Benoît Poelvoorde et Edouard Baer. 

Saint-Nazaire : la mairie lance un site internet pour les familles

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Depuis le 15 janvier, l'espace famille municipal a son site internet sur lequel toutes les démarches peuvent se faire en ligne

 Il n’est pas question de se substituer à un accueil, c’est un service complémentaire

précise d’emblée Martin Arnout, adjoint au numérique à Saint-Nazaire.

Depuis le 15 janvier, les Nazairiens peuvent se connecter sur un nouveau site internet regroupant tous les services municipaux de l‘espace famille. Jusqu’ici l’interface numérique se limitait à de l’information et au paiement. La nouvelle plateforme va beaucoup plus loin.

5 000 familles concernées

 La ville de Saint-Nazaire est engagée dans une démarche de dématérialisation en interne mais également vers les usagers. L’espace famille qui enregistre chaque jour environ 80 passages dans son local avenue Léon Blum gère l’accueil périscolaire, l’accueil occasionnel en crèche, la cantine, les temps péri-éducatifs, les centres de loisirs, les inscriptions scolaires, les stages sportifs.

S’il était possible de créer un compte en ligne, pour les 5 000 familles inscrites, les démarches administratives nécessitaient de se déplacer.

Tout sur un même site

Depuis le 15 janvier, tout peut se faire directement sur le site internet : création d’un compte, informations, paiement, correction des données personnelles, inscriptions, téléchargement et transmission de documents

Dès mars, il sera aussi possible d’inscrire les enfants à l’école pour la prochaine rentrée (les quatre mairies annexes enregistrent aussi désormais les inscriptions scolaires) ainsi qu’aux TPE ou encore faire les demandes de dérogation.

À terme, les inscriptions aux stages sportifs et aux activités du conservatoire seront possibles, « il reste encore des difficultés techniques », explique Nadège Mattmann, chef de projet informatique.

 Avec cette plateforme l’usager gagnera du temps et pourra entreprendre les démarches depuis chez lui, sans les contraintes des horaires de l’accueil. Pour les services c’est aussi un gain de temps et les agents pourront se recentrer sur des problématiques particulières. Cela va aussi désengorger l’accueil,

indique l’élu. Il est également possible d’appeler l’espace famille ou d’envoyer un mail en cas de difficultés d’utilisation du site.

L’accueil renforcé

 On travaille sur la dématérialisation mais on fait aussi en sorte de mieux accueillir le public ,

insiste Martin Arnout. L’accueil de l’espace famille élargit ses horaires et passe en journée continue le mardi de 8 h 30 à 17 h.

C’est également le cas des services état-civil, affaires générales, accueil, urbanisme qui sont depuis quelques semaines ouverts le mardi entre 12 h et 13 h 30, en plus des créneaux habituels.

 

INFOS PRATIQUES : Espace famille : 31, avenue Léon Blum. Ouvert les lundis, mercredis, vendredis de 8 h 30 à 12 h et de 13 h 30 à 17 h, le mardi de 8 h 30 à 17 h, le jeudi de 13 h 30 à 17 h. Tél. 02 44 73 44 35, espacefamille.saintnazaire.fr

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